Il n’y a plus d’actifs sans risque

09/01/2012, classé dans
Avec la crise des dettes publiques, les épargnants et les investisseurs doivent revoir leur paradigme. Il n’y a plus ou presque de valeurs intangibles sans risque. Ainsi, jusqu’à peu, les titres publics des grands Etats étaient considérés comme des valeurs de base; ce n’est plus le cas aujourd’hui. la dégradation américaine a ouvert la voie. Même l’Allemagne n’échappe pas à la règle avec à la fin de l’année 2011 des problèmes pour couvrir ses besoins.
Aujourd’hui, les émissions des dettes publiques font l’objet d’une attention toute particulière. Les Etats peuvent-ils émettre et à quel taux ? Il est vrai que les besoins de financement bruts des Etats de la zone euro s’élèveront à 1700 milliards d’euros en 2012.
Les épargnants n’ont pourtant guère d’autres possibilités que de se reposer sur les dettes publiques. Certes, il y a les émissions obligataires des entreprises mais elle sont trop réduites pour constituer une alternative. Il y aussi la possibilité de se diversifier au niveau des Etats en pariant sur les pays émergents. or, il y a également des risques, inflation, gouvernance, change… Il ne reste plus qu’à s’habituer à évoluer dans un monde sans certitude comportant plus de risques….

Avec la crise des dettes publiques, les épargnants et les investisseurs doivent revoir leur paradigme. Il n’y a plus ou presque de valeurs intangibles sans risque. Ainsi, jusqu’à peu, les titres publics des grands Etats étaient considérés comme des valeurs de base; ce n’est plus le cas aujourd’hui. la dégradation américaine a ouvert la voie. Même l’Allemagne n’échappe pas à la règle avec à la fin de l’année 2011 des problèmes pour couvrir ses besoins.
Aujourd’hui, les émissions des dettes publiques font l’objet d’une attention toute particulière. Les Etats peuvent-ils émettre et à quel taux ? Il est vrai que les besoins de financement bruts des Etats de la zone euro s’élèveront à 1700 milliards d’euros en 2012.
Les épargnants n’ont pourtant guère d’autres possibilités que de se reposer sur les dettes publiques. Certes, il y a les émissions obligataires des entreprises mais elle sont trop réduites pour constituer une alternative. Il y aussi la possibilité de se diversifier au niveau des Etats en pariant sur les pays émergents. or, il y a également des risques, inflation, gouvernance, change… Il ne reste plus qu’à s’habituer à évoluer dans un monde sans certitude comportant plus de risques….

Partagez